CĂ©rĂ©moniedu 5 dĂ©cembre. Aujourd’hui a eu lieu la commĂ©moration du 5 dĂ©cembre en prĂ©sence de Monsieur le Maire, Mme Prignol, 3Ăšme Adjointe, et des reprĂ©sentants d'associations patriotiques. PubliĂ© le 05 dĂ©cembre 2020 . N’oublions jamais. Retrouvez l'allocution de Monsieur le Maire ci-dessous : JournĂ©e nationale d'hommage aux « morts pour la France »
La journĂ©e nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie a Ă©tĂ© instaurĂ©e par le dĂ©cret n° 2003-925 du 26 septembre 2003. Elle fait l’objet d’une cĂ©rĂ©monie d’hommage Ă  Paris, devant le MĂ©morial national de la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. AlgĂ©rie L’AlgĂ©rie tient au XXe siĂšcle une place Ă  part dans l’empire français par l’anciennetĂ© de ses liens, par sa proximitĂ© avec le territoire mĂ©tropolitain et par un important peuplement europĂ©en qui s’est installĂ© Ă  partir de 1830 au cĂŽtĂ© des populations locales. Son rĂŽle s’accroĂźt au cours de la Grande Guerre, oĂč elle contribue Ă  l’effort militaire français, et surtout lors de la Seconde Guerre mondiale oĂč Alger devient, du printemps Ă  l’étĂ© 1944, la capitale de la France Libre. Français et musulmans venus d’AlgĂ©rie participent nombreux Ă  la libĂ©ration de la mĂ©tropole. La politique officielle d’assimilation apparaĂźt cependant contradictoire avec l’inĂ©galitĂ© politique entre les deux catĂ©gories de population. Aussi bien, le nationalisme algĂ©rien s’y dĂ©veloppe et rĂ©clame la reconnaissance de l’autonomie politique et des droits Ă©gaux pour les Musulmans. L’insurrection de mai 1945, durement rĂ©primĂ©e, apparaĂźt comme le prĂ©lude de la guerre d’indĂ©pendance qui Ă©clate lors de la Toussaint 1954, principalement dans les AurĂšs. Dans un contexte global de dĂ©colonisation, au moment oĂč les protectorats voisins de Tunisie et du Maroc vont accĂ©der Ă  l’indĂ©pendance, l’image d’une AlgĂ©rie française, prospĂšre et pacifiĂ©e, est trompeuse. Le fossĂ© s’approfondit entre le million d’EuropĂ©ens, souvent citadins attachĂ©s Ă  un territoire qu’ils considĂšrent tout Ă  la fois comme leur pays et comme le prolongement de la France, et les 8 millions d’AlgĂ©riens musulmans. Ruraux pour la plupart, ceux-ci sont menacĂ©s par la paupĂ©risation, peu scolarisĂ©s et sous-administrĂ©s. La politique d’intĂ©gration et de modernisation Ă©conomique et sociale de l’AlgĂ©rie, engagĂ©e en 1955, se heurte Ă  la fois aux EuropĂ©ens dĂ©sireux de maintenir le statu quo et aux nationalistes algĂ©riens regroupĂ©s au sein du Front de libĂ©ration nationale. Loin de s’apaiser, le conflit se durcit et s’étend, le contraignant la population algĂ©rienne Ă  choisir son camp. De son cĂŽtĂ©, la France intensifie l’action militaire en envoyant le contingent en AlgĂ©rie dĂšs 1955. L’armĂ©e française quadrille ce territoire, l’administre, fait de l’action psychologique, de l’assistance sociale et pourchasse les membres de l’ ArmĂ©e de libĂ©ration nationale. Cependant, aucune solution n’est en vue. La loi-cadre de fĂ©vrier 1958 reconnaĂźt la personnalitĂ© algĂ©rienne, tout en affirmant que l’AlgĂ©rie fait partie intĂ©grante de la RĂ©publique française. La faiblesse de la IVe RĂ©publique, qui ne parvient pas Ă  venir Ă  bout de l’insurrection algĂ©rienne, la crainte Ă©prouvĂ©e par les EuropĂ©ens d’AlgĂ©rie de voir leur pays abandonnĂ© au et la volontĂ© de l’armĂ©e de ne pas cĂ©der expliquent la crise de mai 1958 et le retour au pouvoir du gĂ©nĂ©ral de Gaulle. Tout en relançant l’effort militaire, le gĂ©nĂ©ral de Gaulle propose la paix des braves » et met en place un vaste programme de modernisation Ă©conomique le plan de Constantine. Les effets en restent limitĂ©s. La guerre continue en dĂ©pit des revers subis par l’ La cause de l’indĂ©pendance algĂ©rienne gagne chaque jour des partisans sur le plan international et dans l’opinion publique française. L’évolution de la politique algĂ©rienne du gĂ©nĂ©ral de Gaulle, qui le conduit de l’idĂ©e d’autodĂ©termination septembre 1959 Ă  celle d’AlgĂ©rie algĂ©rienne novembre 1960, radicalise les oppositions. Elles se manifestent notamment Ă  Alger lors des barricades janvier 1960 et du Putsch avril 1961. ConfortĂ© par les rĂ©sultats du rĂ©fĂ©rendum de janvier 1961 qui lui apporte le soutien des trois-quarts des Français mĂ©tropolitains, le gĂ©nĂ©ral de Gaulle recherche avec le Gouvernement provisoire de la rĂ©publique algĂ©rienne les voies de la paix par de longues nĂ©gociations qui aboutissent Ă  la signature, le 18 mars 1962, des accords d’Évian. La proclamation du cessez-le-feu Ă  partir du 19 mars n’arrĂȘte pas les violences dont les harkis sont, par milliers, les principales victimes. C’est dans une situation chaotique que la France reconnaĂźt l’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie le 3 juillet 1962. Ainsi, prenait fin, avec le retour des EuropĂ©ens en mĂ©tropole, une prĂ©sence française qui avait durĂ© plus de 130 ans de l’autre cĂŽtĂ© de la MĂ©diterranĂ©e. Maroc Dans un Maroc devenu protectorat français depuis 1912, la dĂ©faite de 1940 porte un coup sĂ©vĂšre au prestige français, mĂȘme si le recrutement d’unitĂ©s marocaines au service de la France ne se tarit pas. Le nationalisme se dĂ©veloppe Ă  l’initiative du parti de l’Istiqlal et du sultan Mohamed V ben Youssef qui devient le symbole des revendications d’indĂ©pendance. En 1952, les manifestations anti-françaises se dĂ©veloppent. DĂšs lors, l’épreuve de force devient inĂ©vitable mĂ©fiant Ă  l’égard des forces progressistes, le gouvernement français remplace le Sultan le 20 aoĂ»t 1953. Cette action politique ne fait pas cesser le terrorisme nationaliste et engendre mĂȘme une action violente dans les classes populaires europĂ©ennes. RentrĂ© triomphalement dans son pays, aprĂšs un exil imposĂ© en Corse puis Ă  Madagascar 1953-1955, Mohamed V obtient la reconnaissance de l’indĂ©pendance du Maroc par la France, le 2 mars 1956. Tunisie PlacĂ©e sous protectorat français par le traitĂ© du Bardo 1881, la Tunisie est au cours de la Seconde Guerre mondiale le théùtre de l’affrontement des troupes de l’Axe et des AlliĂ©s 1942-1943, tandis que des rĂ©giments tunisiens s’illustrent en Italie et en France en 1943-1944. Le nationalisme tunisien, conduit par le parti du NĂ©o-Destour menĂ© par Habib Bourguiba, donne lieu Ă  des actes de terrorisme et Ă  un dĂ©but de guĂ©rilla dĂšs 1952. Pendant deux ans, l’armĂ©e française doit faire face Ă  un mouvement armĂ© qui commet plusieurs attentats Ă  Tunis et dans les grandes villes du pays. AprĂšs les accords signĂ©s en juin 1955 mais caducs avant mĂȘme d’avoir Ă©tĂ© appliquĂ©s, le protocole du 20 mars 1956 abolissant le traitĂ© du Bardo reconnaĂźt l’indĂ©pendance totale du royaume de Tunis. Un an plus tard, la rĂ©publique de Tunisie est proclamĂ©e et Bourguiba en devient le premier prĂ©sident. ENJEU MEMORIEL Cette journĂ©e nationale a Ă©tĂ© instituĂ©e en reconnaissance des sacrifices consentis pour la France par les militaires et les supplĂ©tifs lors de la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie entre 1952 et 1962, et a Ă©tĂ© instaurĂ©e par le dĂ©cret n° 2003-925 du 26 septembre 2003. Cet hommage a ensuite Ă©tĂ© Ă©tendu aux rapatriĂ©s d’Afrique du Nord, aux personnes disparues et aux victimes civiles. Elle fait l’objet d’une cĂ©rĂ©monie d’hommage Ă  Paris, devant le MĂ©morial national de la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie, Quai Branly. La date du 5 dĂ©cembre correspond Ă  la date d’inauguration, en 2002 par le prĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac, du mĂ©morial du Quai Branly. Comments comments CĂ©rĂ©monied’hommage aux morts pour la France, civils et militaires, de la guerre d’AlgĂ©rie, des combats du Maroc et de la Tunisie, en format restreint en raison de la crise sanitaire, au square David Haviland Ă  Limoges. DĂ©pĂŽt d’une gerbe avec M. Seymour Morsy, PrĂ©fet de la Haute-Vienne et M. Viroulaud adjoint au maire de Limoges.
Ce dimanche s’est dĂ©roulĂ©e la cĂ©rĂ©monie commĂ©morant la JournĂ©e nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Cette cĂ©rĂ©monie fut l’occasion pour le Maire de remettre des mĂ©dailles d’honneur Ă  3 portes-drapeaux Claude Diop en reconnaissance de 30 ans de fidĂ©litĂ© Ă  la fonction, Myriam Gasc Lognos en reconnaissance de 3 ans de fidĂ©litĂ© Ă  la fonction, Lionel Garnier en reconnaissance de 3 ans de fidĂ©litĂ© Ă  la fonction. Puis le conseiller junior MikaĂ«l Broux a lu le message officiel de l’UNC aux cĂŽtĂ©s de Louis Gasc et le maire, Yves Michel a conclu avec la lecture du discours officiel de la Ministre des armĂ©es GeneviĂšve Darrieussecq. La cĂ©rĂ©monie s’est clĂŽturĂ©e avec un dĂ©pĂŽt de gerbes devant le monument aux morts et la Marseillaise entonnĂ©e par la pĂ©na Bella Ciao.

5dĂ©cembre: la mĂ©moire de la guerre d’AlgĂ©rie 5 dĂ©cembre 2011 En ce lundi 5 dĂ©cembre 2011, des cĂ©rĂ©monies sont organisĂ©es partout dans la rĂ©gion pour la 9e journĂ©e

PubliĂ© le 07/12/2021 Ă  0516 Cette cĂ©rĂ©monie Ă  la mĂ©moire des morts, militaires et civiles de la guerre d’AlgĂ©rie, s’est dĂ©roulĂ©e sous la pluie, par un petit vent glacial. Les personnes prĂ©sentent, civiles et militaires ont rendus, comme il se doit un fervent hommage Ă  ceux qui ont laissĂ© leur vie pour ce morceau de territoire qui fut durant plus de 130 ans considĂ©rĂ© comme français. Ce temps hivernal, l’augmentation des cas covid, et les diverses activitĂ©s programmĂ©es dans la ville ont fait que moins de personnes ont assistĂ© Ă  ce rassemblement par rapport Ă  celle du 11 novembre dernier. Il n’en reste pas moins vrai que l’émotion Ă©tait prĂ©sente parmi les participants. DĂ©pot de gerbes, sonnerie aux morts, salut aux drapeaux, puis monsieur le maire Denis Turrel conviait ceux qui le souhaitaient, Ă  rejoindre la mairie pour partager le pot de la fraternitĂ©. Le conseil municipal Ă©tait accompagnĂ© d’une partie du conseil municipal des jeunes qui a rĂ©cemment pris ces fonctions.
Journéedu 5 décembre 2021 : le message de la ministre déléguée GeneviÚve Darrieussecq . 5 décembre 2021. Voici le message de GeneviÚve Darrieussecq, ministre
PubliĂ© le 04 dĂ©cembre 2012 Ă  10h01 ModifiĂ© le 04 dĂ©cembre 2012 Ă  10h07 Depuis jeudi dernier, deux dates officielles cĂ©lĂšbrent la fin des hostilitĂ©s en AlgĂ©rie le 5 dĂ©cembre et le 19 mars. Un grand rassemblement des anciens d'AFN aura lieu mercredi Ă  Pleyben. GĂ©nĂ©ralement, on commĂ©more une guerre le jour du contrat qui y a mis fin. Il en va ainsi de l'armistice du 11 novembre 1918 comme de la capitulation de l'Allemagne nazie le 8 mai 1945. Pour la guerre d'AlgĂ©rie, il existe aussi un contrat les accords d'Evian, signĂ©s le 19 mars. Mais le fait est que les Ă©vĂ©nements d'AlgĂ©rie» ont continuĂ© pendant encore deux ans, avec force drames humains, touchant les combattants des deux camps ainsi que les civils. Je ne me vois pas chanter la Marseillaise ce jour-là», dit sans ambages Maurice Jan Unacita d'Auray. Une position largement rĂ©pandue chez les anciens combattants d'AlgĂ©rie. Pour Ă©viter cet Ă©cueil, on s'est habituĂ© depuis une dĂ©cennie Ă  rendre hommage aux morts pour la France en AlgĂ©rie le 5 dĂ©cembre. Une date sortie d'un chapeauPourquoi le 5 dĂ©cembre? Parce que. La date est sortie d'un chapeau. Ou plutĂŽt d'un agenda prĂ©sidentiel. Le 5 dĂ©cembre 2002, Jacques Chirac, alors prĂ©sident de la RĂ©publique, inaugurait quai Branly Ă  Paris le mĂ©morial national de la guerre d'AlgĂ©rie et des combats du Maroc et de la Tunisie. On tenait une date. Un dĂ©cret du 26 dĂ©cembre 2003, rappelĂ© dans une loi du 23 fĂ©vrier 2005, l'a depuis installĂ©e dans le calendrier. Mais cette date ne reposant sur rien n'a jamais satisfait la Fnaca, premiĂšre association d'anciens combattants d'AlgĂ©rie par le nombre de ses adhĂ©rents. Son combat pour la reconnaissance du 19 mars vient tout juste d'aboutir Ă  la faveur de l'alternance politique. VotĂ©e le 8 novembre par le SĂ©nat dans les mĂȘmes termes que l'AssemblĂ©e nationale en janvier 2002 Ăšre Jospin, la loi faisant du 19 mars une journĂ©e nationale du souvenir a Ă©tĂ© validĂ©e, jeudi dernier, par le conseil constitutionnel. Les commĂ©morations, qui avaient lieu tous les ans, seront donc dĂ©sormais frappĂ©es d'un caractĂšre aussi officiel que national. Comme celles du 5 dĂ©cembre. Et ce pour le mĂȘme objet. >> Lire l'interview de deux membres de l'Union Nationale des Anciens Combattants d'Indochine, des théùtres d'opĂ©rations extĂ©rieures et d'Afrique du Nord, ce mardi dans Le TĂ©lĂ©gramme d'Auray
5juillet en AlgĂ©rie : La portĂ©e symbolique de la cĂ©rĂ©monie du Palais du Peuple. Ce n’est pas une cĂ©rĂ©monie comme les autres. La cĂ©rĂ©monie de remise de grades et de mĂ©dailles
Une forte dĂ©lĂ©gation du Souvenir Français, dont les jeunes porte-drapeaux, assistait le dimanche 5 dĂ©cembre 2021 Ă  la cĂ©rĂ©monie dĂ©partementale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Depuis 2003, la France consacre la journĂ©e du 5 dĂ©cembre Ă  ceux qui sont morts pour la France dans ces guerres dites de dĂ©colonisation. De 1952 Ă  1962, en AlgĂ©rie, au Maroc et en Tunisie, prĂšs de deux millions d’hommes servirent en Afrique du Nord. Plus de 25 000 d’entre eux tombĂšrent pour la France. 70 000 furent blessĂ©s Le Souvenir Français s’est engagĂ© dans une refondation de sa politique de sauvegarde des tombes des Morts pour la France. Il s’agit entre autres d’assurer une veille mĂ©morielle de ces tombes, notamment les tombes familiales, afin d’éviter que certaines d’entre elles ne disparaissent du fait de leur abandon, ou de l’impossibilitĂ© pour les familles Ă  assurer leur entretien. C’est le cas de la tombe familiale, Ă  Perpignan, d’un officier mort pour la France dans le contexte des combats au Maroc en 1957 les membres de sa famille sont trĂšs ĂągĂ©s, n’habitent plus la rĂ©gion. Ils viennent de demander au Souvenir Français d’assurer le suivi de la tombe en coordination avec la mairie.. Le comitĂ© de Perpignan et la DĂ©lĂ©gation GĂ©nĂ©rale pour les PyrĂ©nĂ©es Orientales du Souvenir Français se sont saisis du dossier. Assistaient Ă  cette cĂ©rĂ©monie pour le Souvenir Français – Le dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral dĂ©partemental, le gĂ©nĂ©ral Gilles Glin, et le dĂ©lĂ©guĂ© dĂ©partemental aux porte-drapeaux, Jean Luc Aldebert. – Le prĂ©sident du comitĂ© de Rivesaltes, RenĂ© San Nicolas, et son porte-drapeau. – Le vice- prĂ©sident du comitĂ© de Claira Jacques Bonafos. – Une forte dĂ©lĂ©gation du comitĂ© de Perpignan autour de son prĂ©sident, Ludovic Lobjois. – Plusieurs jeunes porte-drapeaux de la section Pierre Bayle, et certains de leurs aĂźnĂ©s, porte-drapeaux de diffĂ©rents comitĂ©s.
CeDimanche 5 dĂ©cembre Ă  17h, au square de la MĂ©daille Militaire, a eu lieu la trĂšs belle et trĂšs Ă©mouvante CĂ©rĂ©monie de la JournĂ©e nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie et les combats du Maroc et Tunisie, et sous une pluie glaciale chacun Ă©tait Ă  son poste pour cet hommage.
JournĂ©e Nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’AlgĂ©rie, reconnue par l’Etat et la majoritĂ© des fĂ©dĂ©rations nationales, des Harkis et des rapatriĂ©s, ce 5 dĂ©cembre a rassemblĂ© des personnalitĂ©s, des anciens combattants rejoints par les dĂ©lĂ©gations de section PG-CATM et d’associations amies au square du Souvenir Français, quai Jacques Aulong pont canal, entourĂ©s de plus de 54 drapeaux. A 10 heures prĂ©cises, car cet hommage intime devance de peu celui du monument aux morts place Armand FalliĂšres, la cĂ©rĂ©monie a dĂ©butĂ© par l’hymne national, suivi par la lecture des 144 morts Lot et Garonnais morts pour la France en Afrique du Nord par Carla Debille, le message des anciens combattants par le PrĂ©sident Bordier, les dĂ©pĂŽts de gerbes par les Harkis, les rapatriĂ©s et les associations d’anciens combattants dont une forte dĂ©lĂ©gation des Parachutistes et de la LĂ©gion Ă©trangĂšre. DĂ©corations remises par le GĂ©nĂ©ral Maury, Croix du Combattant 39/45 Ă  Monsieur Roger Massobre, PG et Insigne de Porte drapeau pour 10 ans de service Ă  Monsieur Guy Gleyze, PG-CATM. C’est Ă  11 heures que nous sommes rendus au monument aux morts en prĂ©sence des autoritĂ©s civiles et militaires, d’un piquet d’honneur du 48Ăšme RT, et des Ă©lĂšves de l’école FĂ©lix Aunac. AprĂšs le dĂ©pĂŽt de gerbes par les autoritĂ©s, le manifeste du secrĂ©taire d’état aux anciens combattants lu par l’autoritĂ© prĂ©fectorale, la jeunesse a entonnĂ© La Marseillaise puis dĂ©posĂ© des fleurs. AprĂšs avoir rendu hommage Ă  leurs camarades de combat, les participants se sont retrouvĂ©s au restaurant Les Quatre Saisons » au marchĂ© gare pour partager le pot de l’amitiĂ©. A 17 heures, une cĂ©rĂ©monie identique s’est dĂ©roulĂ©e au monument aux morts de PrĂ©sident Claude BORDIER
DgYfBV.
  • k4po3lrum5.pages.dev/437
  • k4po3lrum5.pages.dev/411
  • k4po3lrum5.pages.dev/461
  • k4po3lrum5.pages.dev/332
  • k4po3lrum5.pages.dev/166
  • k4po3lrum5.pages.dev/162
  • k4po3lrum5.pages.dev/539
  • k4po3lrum5.pages.dev/174
  • cĂ©rĂ©monie du 5 dĂ©cembre guerre d algĂ©rie